Un brin de féerie
Il était une fois dans un pays merveilleux une jeune fille dont la beauté et la gentillesse s'étendaient au-delà du monde connu. Elle vivait simplement dans une humble chaumière au milieu de la forêt avec ses parents. Elle aimait passer du temps avec ses petits compagnons : une biche appelée Lilas, un lapin nommé Peter et un rouge gorge du nom de Coquelicot. Tous les quatre parcouraient les prairies, les monts et les vallées, aidaient les animaux en danger et rendaient de menus services aux habitants de la forêt.
Un jour, la jeune fille qui aidait une vieille dame remarqua un parchemin sur la table. Il s'agissait d'une invitation à réaliser une collection de vêtements en vue du mariage de la princesse. Elle voulait être la plus belle et souhaitait émerveiller ses sujets avec des idées nouvelles. La jeune fille qui aimait l'art de se vêtir se dit que c'était là une idée de montrer son talent. Aussi décida-t-elle de rentrer chez elle pour se mettre au travail. Elle fourmillait d'idées, ses parents ne pouvaient plus contenir son énergie.
Le grand jour arriva. Elle prit la route du palais. Quand elle arriva, elle se trouva entourée de milles couleurs, de magie et d'une belle énergie. Elle suivit d'autres personnes et s'engouffra dans le palais. Jamais elle ne s'était sentie aussi heureuse, aussi bien.
L'histoire nous dira que c'est elle qui a remporté le concours et qu'elle a inspiré d'autres jeunes filles. Elle a inspiré les gens par sa gentillesse, ses conseils et sa volonté de ne rien lâcher. L'histoire se finit bien : elle a été nommée archiviste en chef de la maison de haute couture du pays de Tinty.
Désormais, si vous souhaitez vous adresser à l'archiviste de la mode, demandez Estelle. Vous la trouverez dans sa maison en forme de sac à main sous des amas de papier et de tissus.
Petit guide de la féminité
Avant toute chose, il est important de signaler chère lectrice que les femmes sont les maîtresses du monde et que ce guide n'est là que pour affirmer cette domination sur l'homme.
A toi, jeune femme en plein éclosion. A toi, qui découvres qu'un garçon est plus qu'un simple défouloir quand tout va mal et que la crème de jour n'est pas de la crème fraîche, je t'invite à entrer dans un monde fabuleux, rempli de magie, de paillettes, de sourires, de miroirs, de prises de têtes. Il est temps pour toi d'apprendre qu'au-delà d'une simple façade, le maquillage peut procurer du bien-être, apporter un sentiment de plénitude et faire se sentir belle. Dans ce guide, tu trouveras ce dont tu as besoin pour t'épanouir dans ta future vie de femme, pour avoir confiance en toi et pour comprendre qu'avant de plaire aux autres, il faut plaire à soi-même.
A toi, qui découvres le grand mystère de l'amour. Sache que la règle la plus importante est de toujours mettre du mascara waterproof en cas de blessure imprévue du cœur. La deuxième règle est de toujours avoir une bombe lacrymogène pour faire subir aux détracteurs de l'amour, une souffrance égale à la tienne. La dernière règle, chère amie, et la plus essentielle, est de comprendre que l'amour, les garçons sont indispensables à la vie d'une femme et que quoi qu'on en dise, ils sont notre plus grand but.
Alors, n'aie pas peur et lance-toi à la découverte des plus grands secrets de beauté et prends le temps de comprendre le grand mystère de la vie : les garçons. Ce guide, je l'espère, pourra t'apporter des réponses aux questions que tu te poses, être un soutien quand le blues s'installe dans ton esprit et un ami pour rire des bêtises du monde.
C'est donc avec tendresse, amitié et sincérité, que je te souhaite une très belle lecture. Je te souhaite de trouver quelqu'un de merveilleux, de vivre de belles aventures, de profiter de chaque instant de la vie. Rêve, danse, chante, découvres, apprends, amuse-toi, enchante-toi.
Lettre à Juliette
"Les mots "et" et "si" et sont des mots qui pris séparement n'ont rien de particulièrement effrayant, mais placés l'un à côté de l'autre, ils ont le pouvoir de vous hanter pour le reste de vos jours. Et si, et si... Je ne sais pas comment votre histoire s'est terminée, mais si ce que vous ressentiez à l'époque était le grand amour, sachez qu'il n'est jamais trop tard. Si c'était vrai à ce moment là, pourquoi ne le serait-ce pas aujourd'hui ? Il vous faut seulement le courage d'écouter votre coeur. J'ignore ce qu'est un amour comme celui de Roméo et Juliette, un amour pour lequel on est prêt à tout quitter, pour lequel on est prêt à traverser les océans, mais je veux croire que s'il m'était donné un jour de le trouver, j'aurais le courage d'oser le vivre. Et si vous, Claire, n'avez pas eu le courage, j'espère qu'un jour viendra où vous l'aurez ".
(Lettre extraite du film "Lettres à Juliette" de Gary Winick inspiré du livre "Lettres à Juliette" de Lise et Ceil Friedman)
L'amour d'une mère à sa fille
"Je quitte la vie mais je te laisse tout l'amour que je porte en moi. Je sais que tu le garderas comme ton bien le plus précieux. Que tu sauras le protéger et le transmettre un jour à tes enfants. Ainsi, ma mort n'aura pas été inutile. Je te laisse le meilleur de moi-même et j'emporte avec moi le souvenir de tout le bonheur que tu m'as donné.
Tu grandiras et tu pleureras en pensant que je t'ai abandonné. Mais tu sentiras ma présence dans la lumière de l'air, dans l'éblouissement du soleil sur une vague, dans la clarté des chandelles. Je serais partout et nulle part. Tu n'auras pas de mère plus fidèle que moi ".
Hommage aux victimes de l'attentat de Manchester
Encore des attentats, la culture et la musique attaquées, encore des larmes et cette douleur qui ne disparaît pas et qui nous enferme. Certains ont peur, d'autres deviennent haineux, racistes, croyant que la violence est la seule solution face à la montée du terrorisme ou des extrémismes. Tant de gens avant nous ont connu les guerres, les famines, la souffrance et la mort. Tant de gens ont vu des êtres chers leur être arrachés. Sommes-nous prêts à vivre à nouveau cela ?
Aujourd'hui encore, des familles entières sont séparées, des enfants se retrouvent orphelins, des jeunes sont embrigadés dans les armées. Moi qui suis française, qui ai la chance de vivre dans un pays en paix, j'ai parfois du mal à comprendre comment de telles choses sont possibles dans une société qui se dit civilisée. Les terroristes rejettent la façon de vivre des occidentaux, ils rejettent des principes comme les droits de l'homme, la liberté, l'égalité.
Parfois, j'ai peur. Peur de vivre dans un monde dans lequel je ne me reconnais pas. Pourtant, le plus souvent, je suis fière d'être française, fière d'être européenne. Je suis fière de pouvoir faire entendre ma voix. Parce que je suis une femme, parce que j'ai reçu une éducation, parce que je peux voter. Je suis fière de pouvoir exprimer mes idées. La peur ne résout rien, elle n'est que la gardienne de la colère et du ressentiment. Unissons-nous dans un même but : défendons notre Terre, construisons ensemble l'avenir !
Etre blanc, noir, jaune, mince, gros, riche ou pauvre ne veut rien dire. Etre français, américain, chinois, arabe ou russe ne veut rien dire. Seul le cœur doit montrer qui nous sommes. Nous allons à l'école pour nous instruire, nous allons à des concerts pour nous divertir. Nous prions Dieu, Allah, Bouddha parce que nous croyons à des valeurs d'amour. Nous sommes liés par une même envie de découvrir le monde. Nous sommes liés par une volonté sans faille de nous nourrir des cultures, des coutumes, des traditions des autres.
Ne cédons pas à la peur. Luttons pour nos principes en chantant, en écrivant, en aidant des voisins. Devenons une opposition farouche du terrorisme en nous tenant tous la main. Seul l'union des peuples vaincra ce que le terrorisme a planté dans nos cœurs depuis si longtemps ! Unissons-nous pour être plus fort.
Tout en douceur
Couplet 1 :
Doucement, quand la lune se lève
Les elfes se réveillent et les lumières dansent,
Le parfum de la nuit effleure les roses rouges,
Et déjà, petit cœur, les fées t’emmènent vers de lointaines contrées.
Refrain :
Vole, vole, petit cœur, abandonne toi dans la douceur de la nuit,
Danse, danse, petit cœur, virevolte dans l'aube qui se lève,
Chante, chante, petit cœur, livre toi aux arbres centenaires,
Rêve, rêve, petit cœur, garde toi en l'espoir d'une lune éternelle.
Couplet 2 :
Quand le géant se lève, les oiseaux s'envolent haut dans le ciel,
Quand la sirène chante, le monde retient son souffle, l'homme murmure une prière,
Quand les abeilles s'approchent, l'ours hurle sa joie, vers les montagnes, loin, loin vers l'horizon,
Et quand tu t'éveilles, petit cœur, le monde chante pour toi d'une seule voix.
Refrain :
Vole, vole, petit cœur, abandonne toi dans la douceur de la nuit,
Danse, danse, petit cœur, virevolte dans l'aube qui se lève,
Chante, chante, petit cœur, livre toi aux arbres centenaires,
Rêve, rêve, petit cœur, garde toi en l'espoir d'une lune éternelle.
Couplet 3 :
Au delà de l'océan, près des terres inconnues, une voix s'élève dans le murmure de la nuit,
Le vent l'emporte dans la douceur du crépuscule, vers les cœurs endormis,
Et tandis que l'océan se déchaîne, les rêves inondent les pensées enfantines,
Et pour toi, petit cœur, doucement la lune se lève.
Refrain :
Vole, vole, petit cœur, abandonne toi dans la douceur de la nuit,
Danse, danse, petit cœur, virevolte dans l'aube qui se lève,
Chante, chante, petit cœur, livre toi aux arbres centenaires,
Rêve, rêve, petit cœur, garde toi en l'espoir d'une lune éternelle.
Pour une belle comptine le soir avant que les yeux des bambins ne se ferment...
Etre une femme libérée
Il me paraissait important de prendre la plume pour parler avec vous d'un sujet qui me tiens à cœur : la place des femmes. On parle beaucoup en ce moment de harcèlement de rue, d'agressions sexuelles, de violences faites envers les femmes. Alors, j'en vois venir certains : encore une féministe parano qui vient nous embêter avec ces idées d'égalité entre les sexes.
J'ai 22 ans et je dis souvent à ma mère et à ma grand-mère qu'elles ont eu la chance d'être plus libres que moi. Libres dans le sens où les hommes étaient peut-être plus respectueux, où à l'époque de ma mère, voir une femme seins nus sur la plage ne choquait personne. Pourquoi une femme ne peut pas sortir seule le soir dans la rue ? Pourquoi porter une jupe ou une robe provoque des remarques désobligeantes et inutiles ? Je devrais avoir le droit de porter ce que je veux parce que j'en ai envie. Je n'ai pas le droit de recevoir des remarques gratuites sur mes vêtements sous prétexte que des hommes trouvent cela indécent. Je devrais avoir le droit de sortir sans être accompagnée parce que je décide de ma vie, parce que je suis une femme indépendante. Pourtant, lorsque j'en parle autour de moi, les femmes de mon âge se sentent oppressées, elles ont peur du regard que les gens pourraient porter sur elles.
Alors c'est vrai, nous mêmes entre femmes ne sommes pas toujours solidaires. Nous nous critiquons beaucoup : parfois par manque de confiance en nous, parfois par mépris. Les hommes ne nous facilitent pas la vie. Il ne me viendrait jamais à l'esprit d'aller voir quelqu'un dans la rue pour lui dire qu'il ou elle n'est pas beau ou que ses vêtements ne me plaisent pas. Même si je le pense. Je le garde pour moi. Sauf, que les hommes s'en donnent le droit parce que certains pensent encore que les femmes leur sont inférieures et qu'elles leur doivent obéissance. Ce n'est pas la vérité. Ce n'est pas cela la vraie vie.
J'ai eu la chance de vivre avec des valeurs d'égalité défendues par mes deux parents, de pouvoir m'exprimer sur la personne que je suis, de pouvoir partager mes doutes et mes interrogations en tant que femme. Mes deux frères m'ont aussi donné l'occasion de comprendre leur point de vue et de prendre du recul sur des propos parfois simplement idiots. Mais je pense à toutes celles qui n'ont pas été éduquées avec les armes nécessaires pour dire non, pour s'offusquer d'une main aux fesses, d'un frottement dans le bus ou le métro, de gestes déplacés. Encore avant-hier en discutant de ces débats, un homme me disait que siffler une femme dans la rue, que lui dire que ses vêtements n'étaient pas beaux était normal, qu'il partageait simplement son opinion.
Alors à vous toutes qui croyez que cette situation est normale, que ce que nous vivons tous les jours n'est pas grave, je vous dis, défendez-vous parce que vous en avez le droit. Exprimez-vous parce que vous en avez le droit. Il nous a fallu du temps pour avoir le droit de conduire, le droit de voter, le droit de nous présenter à des élections. Ces droits nous ne devons pas les perdre sous prétexte qu’aujourd’hui cela est banal. Ça ne l'est pas car encore aujourd'hui certains trouvent normal qu'une femme soit payée 30 % moins cher qu'un homme, qu'une femme ne puisse pas prétendre aux mêmes postes sous prétexte qu'elle peut tomber enceinte. Défendez-vous car il nous offrir un monde meilleur aux futures générations de femmes.
N'oubliez pas Mesdames que nous aussi nous avons forgé l'histoire et le monde. En 1903, Marie Anderson a inventé les essuie-glaces, Hippatyte d'Alexandrie soutenait que la Terre était ronde douze siècles avant Galilée et d'autres femmes ont su prendre le pouvoir avec force et détermination comme Elizabeth Ière d'Angleterre, Cléopâtre VII d’Égypte ou encore Mary Read et Anne Bonny, célèbres femmes pirates. Nous avons le pouvoir de prendre notre vie en mains, nous avons le droit de décider de qui nous voulons être, nous avons assez de force et de courage pour dire aujourd'hui :
JE SUIS FIERE D'ÊTRE UNE FEMME !
Conte de la mythologie grecque : Orphée et Eurydice
Il était une fois, des dieux, des hommes et de l’art dans toutes les maisons. C'est dans ce monde de lumière presque magique qu'Orphée est né et a grandi. De son père, roi de la ville de Thèbes, il tenait sa beauté, de sa mère, Calliope, son talent pour la musique. Il en jouait si bien que les dieux lui ont fait cadeau d'un très bel instrument à corde : une lyre. Il charmait la Nature par sa musique et ses mélodies et même les bêtes les plus féroces devenaient ses amies.
Personne ne résistait à la beauté de sa musique et en particulier les jeunes filles. Leurs yeux brillaient quand elles voyaient Orphée mais lui continuait de leur résister. Il cherchait le vrai amour, la femme qui ferait chavirer son cœur. Il cherchait celle qui lui inspirerait la mélodie du bonheur. Un beau jour, il la rencontra enfin, la belle Eurydice. Elle aussi tomba amoureuse de ce beau jeune homme. Ils décidèrent de se marier. Leur amour était si profond et si pur que leur bonheur en rendit jaloux le dieu Aristée.
Eurydice était si belle que d'autres hommes en étaient amoureux. Le dieu Aristée l'aimait d'un amour fou et ne comprenait pas pourquoi elle le rejetait. Alors qu'elle se baignait, Aristée s'approcha d'elle. Il lui déclara son amour mais Eurydice l'ignora. Il la pourchassa alors dans une clairière. La jeune femme, dans sa course, marcha sur un serpent venimeux et celui-ci lui mordit la cheville. Orphée essaya de la sauver mais ses yeux restèrent fermés. Orphée pleura la mort de sa femme adorée.
Orphée refusait de vivre sans celle qu'il aimait et décida d'aller dans le royaume des morts appelé les Enfers pour ramener sa bien aimée. Les Enfers étaient le royaume d'Hadès, le dieu des profondeurs de la Terre. L'entrée du royaume était gardée par un chien à trois têtes dénommé Cerbère. Orphée endormit le chien avec une simple mélodie. Protégé par son instrument, il continua d’avancer dans le royaume d'Hadès. Il arriva enfin devant le dieu des enfers et sa femme Perséphone: ils demandèrent à Orphée ce qui l'avait amené. Il ne trouva pas les mots mais chanta sa tristesse et parvint à émouvoir la déesse.
Hadès et Perséphone acceptèrent la demande d'Orphée de ramener Eurydice dans le monde des vivants. Une seule condition lui fut imposée : tant que le soleil serait caché, Orphée ne devrait pas chercher à voir son aimée. Lui disant oui, Orphée repartit avec sa chérie. Il aperçut rapidement la lumière du jour. Se pensant déjà sorti, il oublia sa promesse et se retourna pour regarder sa princesse. Eurydice fut alors rappelée dans le royaume des morts et Orphée la perdit encore. Il tenta de convaincre les dieux à nouveau mais, ayant désobéi, ceux-ci refusèrent de lui donner une autre chance. Eurydice resta à tout jamais dans le royaume des morts.
La tristesse d'Orphée fut si grande que rien ne put le consoler. Il décida de partir seul pour chanter son chagrin d'avoir perdu celle qu'il aimait. Nul ne put jamais le réconforter et il n'eut que pour seule compagnie le souvenir heureux qu'un jour il fut aimé.
(Co-écrit avec mes amis Benjamin et Caroline)
Chanson de la Simca
Sur l'air de "La Bohême" de Charles Aznavour
Couplet 1
Je vous parle d’un temps
Que les moins de 20 ans
Ne peuvent pas connaître
Les simcas, les talbots
C’étaient de vraies autos
Sur toutes les autoroutes
Et les chemins de campagne
Les moteurs crachaient
Les cylindres sautaient
C’est là que j’ai connu
L’amour des vieilles voitures
Et des garages de rues
Refrain
Les simcas 1000, les simcas 1000
Ça me rappelle
Des souvenirs
Les simcas 1000, les simcas 1000
C’était vraiment ça le bon temps
Couplet 2
Dans les garages voisins
Nous étions quelques-uns
Qui attendions les pièces
Et bien que détachées
Elles étaient convoitées
Nous ne cessions de voir
En cette belle industrie
L’amour des mécaniques
La classe de Pigozzi
Nous réparions des feux
Groupés autour d’essieux
En oubliant les vieux
Refrain
Les simcas 1000, les simcas 1000 Ça me rappelle
Des souvenirs
Les simcas 1000, les simcas 1000
C’était vraiment ça le bon temps
Couplet 3
Souvent il m’arrivait
Devant ma vielle voiture
De passer des nuits blanches
Vérifiant les niveaux
Les lampes et les bougies
Les pneus bien amortis
Et ce n’est qu’au matin
Qu’elle démarrait enfin
Devant mon air serein
Epuisé mais ravi
D’avoir serré les freins
Et changé les coussins
Refrain
Les simcas 1000, les simcas 1000
Ça me rappelle
Des souvenirs
Les simcas 1000, les simcas 1000
C’était vraiment ça le bon temps
Une femme et un homme
Il était une fois, une femme et un homme. Ils sont un au commencement. Ils se rencontrent, deviennent complices. Une amitié naît et doucement, des sentiments plus forts naissent. L’amour naît bientôt concrétisé par un baiser, tendre et sincère. Une femme et un homme deviennent un couple mais ils sont toujours un et un, toujours femme et homme. L’amour grandit, renforcé par la solidité de ce couple. Un jour, un autre sentiment s’invite : il est puissant, il est magique. C’est la famille. Une femme et un homme qui sont toujours un et un mais qui aujourd’hui deviennent trois. Un enfant arrive comme une étoile filante, comme une nouvelle étincelle. L’enfant grandit, la famille est unie. D’autres enfants viennent agrandir cette magie, ce sont des filles, des sœurs. Des éclats de rires, des confidences, des secrets : des liens se tissent et s’entremêlent. La vie s’écoule lentement. Une femme et un homme deviennent grands-parents : ils transmettent leur histoire, écoutent les secrets, continuent d’aimer. Une femme et un homme vieillissent ensemble, toujours unis par l’amour. La vie se termine mais la vie est un cycle. Il y aura à nouveau une femme et un homme qui seront un et un.
Derniers commentaires
tu as un véritable talent... c'est tjs un vrai plaisir de te lire #unepetitegraine
Eleanor me fait penser à toi. J'imagine qu'elle va s'imposer dans le royaume en tant que femme de pouvoir. Quelle ne laissera personne lui dire ce qu'elle doit faire ou être. Bravo
Vivement la suite ! Forcément on s'attend à une belle histoire d'amour ou d'amitié pour Eleanor et Arthur.
Bravo ,a quand la suite le style est agréable
A bientôt http://lecercledesmots.simplesite.com/#